Il est tantôt en mode stratégie de développement, tantôt en mode instigateur d'un nouveau projet ou d'un nouveau parcours d'accompagnement ou de formation ou encore modérateur d'une pitch party virtuelle : notre co-directeur, Gérald Mairesse pourrait gentiment être qualifié de "couteau-suisse".
Prénom : Gérald
Nom : Mairesse
Âge : 32 ans
Lieu de résidence : Carnières
Situation familiale : Marié
Enfants : 2 enfants
Repas favori : les pizzas
Boisson favorite : Clos du Notaire 2018
Qu’est-ce qui t’a mené chez Azimut ?
Dans un premier temps, ce qui m’a conduit chez Azimut était de trouver un

e activité dédiée au développement économique de ma région en partant depuis la base de notre société, celle des indépendants au démarrage de leur activité.
Ensuite, ce sont des raisons plus personnelles telles que la possibilité de
travail sur un lieu plus proche de chez moi et dans un équilibre vie privée / vie professionnelle plus serein qu’il ne l’était précédemment.
Et enfin, lors de mon recrutement, j’ai eu l’occasion de prendre du temps avec l’équipe en place et j’ai été séduit par la qualité des personnes qui allaient devenir mes collègues. Pour moi, la confiance et l’engagement sont deux notions importantes dans le travail.
Quelle est ta fonction chez Azimut ?
Je partage la gestion quotidienne de la structure avec Clotilde Jarlet, en codirection, et ce fonctionnement me convient à merveille car il me permet d’être à la fois dans la réflexion sur le développement et la gestion de la structure tout en étant un acteur de terrain de son évolution. Si je devais résumer ma fonction, je dirai que je suis la plupart du temps en soutien de notre équipe d’accompagnement, tout en étant l’instigateur de nouveaux projets. En cerise sur le gâteau, cette répartition des tâches avec Clotilde me permet de travailler en complémentarité avec une autre personne.
Comment imagines-tu ton quotidien ?
Chaque jour qui passe ne se ressemble pas. Il n’y a pas de routine, les tâches et les projets sont variés, tout en étant concentrés sur l’évolution de nos méthodes d’accompagnement et notre communication. Bien entendu, ce qui fait partie de mon quotidien, c’est d’être dans une veille permanente sur les différents aspects de l’organisation mais principalement sur l’alignement de l’équipe dans le projet.
Quels sont tes plus grands challenges pour le moment ?
Mes plus grands challenges sont de poursuivre le développement de notre méthode d’accompagnement en co-construction avec les accompagnateurs et les formateurs, de faire face à la situation sanitaire en respectant les contraintes tout en fournissant un service de qualité. L’un des plus grands challenges qui nous occupe actuellement est d’envisager Azimut à l’aube de 2023 et de faire en sorte que les actions que nous prenons aujourd’hui soient prises en cohérence avec les défis qui nous attendent demain.
Quel est ton regard sur l’entrepreneuriat dans ta région ?
De par ma fonction, j’ai la grande chance de pouvoir découvrir différents bassins de vie, telles que la Wallonie Picarde, le Brabant Wallon, Charleroi Métropole ou encore le Namurois. A titre personnel, je suis optimiste sur l’évolution de notre capacité à entreprendre en Wallonie car je ressens depuis deux ans de réelles envies mais aussi des initiatives permettant de mieux coordonner localement l’action des opérateurs au service de l’entrepreneuriat.
Par contre, je reste toujours dubitatif sur le manque d’ambition chez nos entrepreneurs. Certains ont un réel talent, mais est-ce par un excès d’humilité ou de pudeur, ce réflexe du « petit » indépendant est toujours bien présent dans les esprits. Nous ne valorisons ou encourageons pas assez le succès.
Quels sont les éléments qui te font vibrer dans ton métier ?
Travailler dans un domaine où je perçois le sens et l’impact de mon travail ainsi que cette possibilité de faire grandir un projet qui me passionne. Mais plus encore, travailler avec des gens qui ont du talent et du cœur.
Si tu avais un message aux futurs entrepreneurs, ça serait…
Osez entreprendre. Pour le reste, Azimut sera à vos côtés.